Passage au Tai Jitsu Club de Paris
De passage à Paris, c'était l'occasion de repasser dans le dojo où je pratiquais en 2005 (11 ans déjà...), saluer Louis Mercier, et revoir les anciens. Si ma pratique s'est beaucoup éloignée de ce qu'elle était à l'époque, je suis toujours heureux de repasser et pratiquer un peu.
La première partie du cours était divisée en deux parties, passage de grade d'un côté et entraînement de l'autre. J'ai pas mal hésité entre les deux, parce que je dois avouer que jeter un oeil sur les passages de grades pour situer mes élèves par rapport aux autres dojos n'est jamais inutile. L'idée était bonne mais regarder au lieu de faire n'a jamais été mon fort, et après deux semaines à enseigner un peu partout, j'avais simplement envie de m'entraîner, redevenir élève, et pratiquer des choses un peu différentes.
Une idée plutôt sympathique sur le papier mais qui a été un échec total puisqu'arrivé sur le tatami pour pratiquer, mon ami Pascal m'a gentiment refilé le bébé. Je ne peux pas lui en vouloir parce que j'aurais fait la même chose mais du coup il a fallu à nouveau martyriser des innocents (oui oui, j'y ai été contraint). Présenter sa pratique n'est pas forcément aisé, et ça l'est encore moins quand le temps est très limité (moins d'une heure en l'occurrence) et que les principes évoqués sont nouveaux pour tout le monde. Ayant l'habitude de me confronter à des pratiques très différentes de la mienne, je suis conscient de la difficulté de prendre la pleine mesure des choix effectués en voyant seulement la surface du travail de l'enseignant.
Malgré ces contraintes, le groupe était très réceptif et j'ai pu leur proposer quelques pistes de travail qui ont semblé les intéresser.
Pour la deuxième partie du cours nous sommes revenus tous ensemble, sous au direction de Louis dont le sens de l'humour et la pédagogie ne changent pas, à ma plus grande joie.
La première partie du cours était divisée en deux parties, passage de grade d'un côté et entraînement de l'autre. J'ai pas mal hésité entre les deux, parce que je dois avouer que jeter un oeil sur les passages de grades pour situer mes élèves par rapport aux autres dojos n'est jamais inutile. L'idée était bonne mais regarder au lieu de faire n'a jamais été mon fort, et après deux semaines à enseigner un peu partout, j'avais simplement envie de m'entraîner, redevenir élève, et pratiquer des choses un peu différentes.
Une idée plutôt sympathique sur le papier mais qui a été un échec total puisqu'arrivé sur le tatami pour pratiquer, mon ami Pascal m'a gentiment refilé le bébé. Je ne peux pas lui en vouloir parce que j'aurais fait la même chose mais du coup il a fallu à nouveau martyriser des innocents (oui oui, j'y ai été contraint). Présenter sa pratique n'est pas forcément aisé, et ça l'est encore moins quand le temps est très limité (moins d'une heure en l'occurrence) et que les principes évoqués sont nouveaux pour tout le monde. Ayant l'habitude de me confronter à des pratiques très différentes de la mienne, je suis conscient de la difficulté de prendre la pleine mesure des choix effectués en voyant seulement la surface du travail de l'enseignant.
Malgré ces contraintes, le groupe était très réceptif et j'ai pu leur proposer quelques pistes de travail qui ont semblé les intéresser.
Pour la deuxième partie du cours nous sommes revenus tous ensemble, sous au direction de Louis dont le sens de l'humour et la pédagogie ne changent pas, à ma plus grande joie.
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