Le JJB, un art de brutes?
On serait tente de le croire a voir ces énormes masses se rouler par terre et se retourner dans tous les sens. Et pourtant, plus le temps passe, plus je m’aperçois de la finesse hallucinante de cette discipline. Hier encore, on a travaille sur des techniques de balayage pour retourner l’adversaire quand il est dans notre garde, et la ou on pourrait être tente d’y aller tout en force pour retourner l’adversaire, en regardant bien les détails on voit clairement qu’il y a soustraction.
En effet, le plus souvent aucune force n’est utilisée ou alors si peu qu’on peut la considérer comme négligeable. Tout est une question de leviers, de structure et de passage des hanches : positionner l’autre et se positionner soi-même de façon à rendre la technique optimale. Pas simple, et a mon avis (qui n’est pas objectif) c’est plus dur au sol que debout. Les déplacements sont plus limites et avoir un positionnement correct est parfois une vraie galère.
Toujours est-il que le sol est définitivement un art beaucoup plus fin qu’il n’y parait, et que j’ai pu le dire pendant longtemps. Je me suis d’ailleurs pris une raclée hier par un gringalet très rapide et technique. Toute ma puissance (relative) n’a rien pu faire.
En effet, le plus souvent aucune force n’est utilisée ou alors si peu qu’on peut la considérer comme négligeable. Tout est une question de leviers, de structure et de passage des hanches : positionner l’autre et se positionner soi-même de façon à rendre la technique optimale. Pas simple, et a mon avis (qui n’est pas objectif) c’est plus dur au sol que debout. Les déplacements sont plus limites et avoir un positionnement correct est parfois une vraie galère.
Toujours est-il que le sol est définitivement un art beaucoup plus fin qu’il n’y parait, et que j’ai pu le dire pendant longtemps. Je me suis d’ailleurs pris une raclée hier par un gringalet très rapide et technique. Toute ma puissance (relative) n’a rien pu faire.
Commentaires