Aunkai au Kishinkan
J’ai découvert il y a quelques semaines que le dojo du Kishinkan (créé entre autres par Leo Tamaki) était situé à environ 500m de chez mes parents. J’ai donc sauté sur l’occasion et profité de mes vacances à Paris pour aller suivre quelques cours d’Aikido et d’Aunkai. Leo était malheureusement absent mais j’ai été très bien acceuilli par Yannick et Christophe.
Je commence par un petit CR des cours d’Aunkai pour une raison très simple: je compte retourner prendre des cours d’Aikido demain. Pouvoir prendre des cours d’Aunkai à 500 m de mon plumard est une situation de rêve, les enseignants de la discipline sont rares, et je dois normalement aller à Tokyo pour me faire corriger. Je ne pouvais pas imaginer une situation aussi confortable que celle-ci.
Cette piqure de rappel était clairement utile, pour ne pas dire nécessaire. J’ai trouvé l’enseignement de Christophe très intéressant, notamment parce que le travail a inclus assez peu de tanrens «classiques» mais des exercices variés, souvent avec partenaire pour apprendre à utiliser la structure et à bouger à partir de Maho (c’est également le sentiment que j’avais eu à Tokyo lors de mon dernier passage). Beaucoup de travail avec le Bo ou avec différents accessoires également afin de mieux comprendre les sensations à trouver.
C’était d’autant plus agréable que je pratique majoritairement les tanrens seul depuis le départ de Fred, et pratiquer avec des partenaires structurés et qui travaillent selon les mêmes principes apporte vraiment quelque chose. De plus on sent que Christophe a bien acquis les bases de la discipline et qu’il les transmet de façon intelligente et ludique. Dommage que ça ait été si court.
Je commence par un petit CR des cours d’Aunkai pour une raison très simple: je compte retourner prendre des cours d’Aikido demain. Pouvoir prendre des cours d’Aunkai à 500 m de mon plumard est une situation de rêve, les enseignants de la discipline sont rares, et je dois normalement aller à Tokyo pour me faire corriger. Je ne pouvais pas imaginer une situation aussi confortable que celle-ci.
Cette piqure de rappel était clairement utile, pour ne pas dire nécessaire. J’ai trouvé l’enseignement de Christophe très intéressant, notamment parce que le travail a inclus assez peu de tanrens «classiques» mais des exercices variés, souvent avec partenaire pour apprendre à utiliser la structure et à bouger à partir de Maho (c’est également le sentiment que j’avais eu à Tokyo lors de mon dernier passage). Beaucoup de travail avec le Bo ou avec différents accessoires également afin de mieux comprendre les sensations à trouver.
C’était d’autant plus agréable que je pratique majoritairement les tanrens seul depuis le départ de Fred, et pratiquer avec des partenaires structurés et qui travaillent selon les mêmes principes apporte vraiment quelque chose. De plus on sent que Christophe a bien acquis les bases de la discipline et qu’il les transmet de façon intelligente et ludique. Dommage que ça ait été si court.
Commentaires
"I don't subscribe to coincidence Corporal. I believe that no matter how random things might appear, there still a plan."
Hannibal Smith.
C'est vrai que c'est une excellente opportunité et tu n'aurais pas eu d'excuse de ne pas y aller. ;)
Est-ce que la diminution de part de tanren est un choix local, ou une réelle évolution générale de la méthode ?
Pour les tanren, Eric m'avait dit la dernière fois qu'ils étaient moins travaillés pendant les cours parce que ça tenait plus de la pratique perso à faire chez soi, alors que le cours permet de travailler plus avec partenaire
Pour l'absence de coïncidence et le plan, je disais ça parce que le Kishinkan est situé si près de chez tes parents, ça aurait pu être du SFS, mais les kamis en ont décidé autrement ;)
Les dérivés du travail à deux et surtout avec l'aide du bâton sont beaucoup plus ludiques et surtout beaucoup moins ennuyeux! ;)
Christophe Martin est un enseignant de qualité et je suis bien content que tu as eu l'occasion de faire cette piqûre de rappel avec lui.
Amitiés,
kiaz